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8 janvier 2017

La psychiatrie doit être faite/défaite par tous

« Il faudra qu’un jour on puisse se demander avant toute intervention psychiatrique : qu’est-ce qui se manifeste dans cette crise ? Qu’est-ce qui s’y joue ? Qu’est-ce qui s’y donne à voir et à entendre ?

Et bien sûr que cette crise ne soit pas celle du malade qui pique sa crise, mais un simple événement, une rupture, l’éclatement de quelque chose qui ne pouvait plus durer. Et que ce que l’on appelle guérison ne soit pas retour à l’état antérieur, que ce qu’on appelle thérapeutique ne soit plus entreprise de restauration de l’ordre antérieur. »

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