L’autre – Maladie d’amour [Natacha]
Merdre à marraine et baronne, daronne non exergue
Claude en l’état de fait était ma tante, balbutiant l’air
Marin côte vendéenne où non l’aunt glacière déambule embrun, attente
À l’asthme n’inspirant guère clair dessein. À 20 ans
Atteinte à brain, les cases en moins, la toge ébène
Claude hérisse broie du glauque, sombres affres militantes au black
Destroys son adaptable au globe en cas soc’, déguerpit d’hiver
En peine capitale. Studio l’Isoloir en moue Simone Weil
Maugréé mutique en tête et veine butée, augure Robotnik
Claude dévolue sous tutelle sans le sou solitaire
Destituée transcrite en fée, fissure qui s’ébrèche non ma marraine
Ma terrible tempête, tante aux tempes enflées schizophrènes
Enraye en la nièce invertie délétère l’insulaire anémique suspendue
Ma tante m’ hait aussi bien guère qu’elle me conna(i)sse
Ignore jusqu’à l’héréditaire destitué je t’aime, toute guerre apparentée
Hein génie génétique m’exagère l’amère onde nébuleuse
Je gère à nauséabond gré cette folie-potentiel qui m’octroie
À ta plaie, plaisir de frigide cécité en cellules ADN re-scalpées
HP, box familière, les us de nos mères, les tocs de nos gênes, conservés
Mère mensure et menstrue le mimétisme marraine’ Nat
Parrainage Ô patrimoine maladif, le miasme délicieux
De la dégénérescence en partage, gloses communes hématomes
Fille-mère, on déterre et transmute modèle hirsute, parfaire le glaucome
Je m’essaie pluie battante, m’inviter chez la tante
Dilettante au plus niais, marraine nier ma présence, toc bis terne-chevillette
Puis déguerpis malade, minaude mine brisée, éteinte incertaine
Des bris de famille explosée défunte, ses fantômes éclectiques délaissés errant
Édentés en couffins aux confins des relents dédain consumé, butinant mortifères
Claude antique damnée s’évertue morose, se morfond recluse du blockhaus en toc
Fille gothique à moelle molle et caduque, éperdue hantée, a-dégrippant l’amour
Sein de famille nom saint sauf honneur, similaire simulacre racines nobles